Quand j’ai lancé No Borders, Just Lens, (ah oui Bienvenue dans ma boutique de streetphotography, un espace dédié à l’art de capturer les rues du monde en images) je me suis posé une vraie question : Comment partager mes photos ? Comment les sortir du disque dur et les mettre dans les mains — ou les murs — des gens ?
J’ai exploré plusieurs pistes. Un livre photo ? Trop figé. Une exposition ? Super, mais élitiste. Des NFT ? Trop froids, trop spéculatifs. Ce que je voulais, c’était créer une vraie proximité. Une image qui vive dans un salon, une chambre, une entrée. Une image qu’on touche. Qu’on offre. Qu’on garde.

🎯 Le poster : une fenêtre permanente
Un poster, c’est une présence. On le choisit pour son ambiance, ses couleurs, pour ce qu’il évoque au quotidien. Ce n’est pas juste « de la déco », c’est un fragment de voyage qu’on accroche chez soi.
C’est aussi un format accessible : ni trop grand, ni trop cher, mais visuellement puissant.

✉️ La carte postale : un lien simple, humain
J’adore les cartes postales. C’est un format modeste, mais chargé de sens. Il y a l’idée de transmission. De souvenir.
Et puis c’est un bel objet : on peut la glisser dans un livre, l’envoyer, l’encadrer, la collectionner.

Dans un monde ultra-numérique, la carte postale redevient un geste rare.
🚫 Et pourquoi pas les expos ?
Je ne les exclue pas. Mais ce n’est pas ma priorité. Je ne veux pas attendre d’être « sélectionné » pour montrer mes images. Je préfère créer mon propre espace d’exposition permanent : ce site, cette boutique.
💻 Et les NFT pour une Boutique de streetphotography?
Je respecte ceux qui s’y lancent. Mais je veux que mes photos restent humaines, matérielles, sensibles. Pas des actifs cryptés à collectionner dans un wallet.
Je vends des instants de vie, pas des certificats de rareté.
🖼️ En résumé :
No Borders, Just Lens est un projet simple : capturer le réel et le rendre partageable.
👉 En poster, il habille un mur.
👉 En carte postale, il passe de main en main.
C’est ça que je veux : des photos qui voyagent, vraiment.
